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Transition énergétique 11 sites retenus pour la réalisation du projet

24-11-2021 00:02

Le ministère de la Transition énergétique et des Energies renouvelables a retenu 11 sites pour la réalisation du projet de "Solaire 1.000" qui comprend des stations de production d'énergie solaire d'une capacité globale de 1.000 mégawatts.Dans un communiqué rendu public, le ministère a précisé qu'en attendant le lancement effectif de la nouvelle Société algérienne des énergies renouvelables "SHAEMS", un groupe de travail spécialisé a été mis sur pied pour préparer les documents relatifs à l'appel d'offres  destiné aux investisseurs dans le cadre du projet "Solaire 1.000" et examiner les éléments externes liés à ce dernier.Le groupe de travail a élaboré...

ne capacité globale de 1.000 mégawatts.Dans un communiqué rendu public, le ministère a précisé qu'en attendant le lancement effectif de la nouvelle Société algérienne des énergies renouvelables "SHAEMS", un groupe de travail spécialisé a été mis sur pied pour préparer les documents relatifs à l'appel d'offres  destiné aux investisseurs dans le cadre du projet "Solaire 1.000" et examiner les éléments externes liés à ce dernier.Le groupe de travail a élaboré un travail préliminaire en prévision du lancement du projet "Solaire 1.000" avant la fin de l'année en cours. Il s'agit notamment du choix des sites adaptés aux exigences de réalisation des stations d'énergie solaire du projet "Solaire 1.000", en tenant compte de l'accessibilité aux sites et de la possibilité de raccordement au réseau électrique. 11 sites d'une capacité globale de 4250 hectares ont été retenus, avec la participation efficiente des wilayas concernées, à savoir El-Bayadh, Ouargla, El Oued, El M'Ghair, Ghardaïa et Béchar.Le même groupe a fixé les conditions financières requises pour ce type de projets afin d'assurer son financement par les investisseurs, avec le concours du ministère des Finances.Pour rappel, un programme de développement des énergies renouvelables permettant la production de 15.000 MW électricité à l'horizon 2035 dont 4.000 MW d'ici à 2024.Cette transition devrait permettre à l'Algérie de "s'affranchir de manière progressive de la dépendance vis-à-vis des ressources conventionnelles" et d'amorcer une dynamique d'émergence d'une énergie verte et durable qui s'appuie sur la mise en valeur de ressources d'énergie inépuisables, selon le projet de plan d'action qui a été approuvé lors d'un Conseil des ministres.La démarche du gouvernement s'articule sur plusieurs considérations notamment, la préservation des ressources fossiles et leur valorisation, le changement du modèle énergétique de production et de consommation, le développement durable et la protection de l'environnement, ainsi que la maitrise des coûts de réalisation des installations des énergies renouvelables. Au titre du développement des énergies renouvelables et tenant compte du potentiel existant et des capacités d'absorption du réseau national de transport et de distribution de l'énergie électrique et de l'énergie d'origine renouvelable, un programme adapté de développement des énergies renouvelables d'une capacité de 15.000 MW à l'horizon 2035, dont 4000 MW d'ici 2024, sera mis en œuvre.La réalisation de ces capacités permettra non seulement d'économiser près de 240 milliards de m3 de gaz naturel et d'éviter ainsi l'émission de 200 millions de tonnes de CO², mais aussi le développement effectif d'un tissu de PME sur l'ensemble de la chaîne de valeur des composants dédiés aux énergies renouvelables, a-t-on souligné dans ce document.L'hybridation de la production de l'électricité de source conventionnelle au niveau du sud du pays, par la production photovoltaïque, constitue pour le gouvernement une action prioritaire dans ce domaine. Aussi, la mise à niveau de la réglementation d'encouragement de la production d'électricité à partir de sources renouvelables afin d'y intégrer des mécanismes adaptés à l'auto production par les résidentiels, sera rapidement mise en œuvre.S'agissant de la politique d'efficacité énergétique, les "mesures fortes" que le gouvernement envisage de mettre en œuvre en matière d'efficacité énergétique permettront de réduire drastiquement le gaspillage et de préserver les ressources énergétiques du pays. Cette démarche, qui sera encouragée dans les différents secteurs d'activité, sera axée sur la généralisation des procédés d'isolation thermiques dans les nouvelles constructions, la mise en place d'un programme national pour la conversion des véhicules au GPLc et le développement du GNC pour les véhicules de transport collectif, l'équipement du réseau d'éclairage public et des administrations publiques avec des dispositifs à basse consommation ainsi que la mise en place d'un cadre réglementaire prohibant l'importation et la production d'équipements énergivores. L'élargissement du dispositif incitatif à l'investissement aux filières permettant la localisation de l'activité de production d'équipements et de composants dédiés à l'efficacité énergétique est également parmi les actions phares du gouvernement.M. B.Le ministère de la Transition énergétique et des Energies renouvelables a retenu 11 sites pour la réalisation du projet de "Solaire 1.000" qui comprend des stations de production d'énergie solaire d'une capacité globale de 1.000 mégawatts.Dans un communiqué rendu public, le ministère a précisé qu'en attendant le lancement effectif de la nouvelle Société algérienne des énergies renouvelables "SHAEMS", un groupe de travail spécialisé a été mis sur pied pour préparer les documents relatifs à l'appel d'offres  destiné aux investisseurs dans le cadre du projet "Solaire 1.000" et examiner les éléments externes liés à ce dernier.Le groupe de travail a élaboré un travail préliminaire en prévision du lancement du projet "Solaire 1.000" avant la fin de l'année en cours. Il s'agit notamment du choix des sites adaptés aux exigences de réalisation des stations d'énergie solaire du projet "Solaire 1.000", en tenant compte de l'accessibilité aux sites et de la possibilité de raccordement au réseau électrique. 11 sites d'une capacité globale de 4250 hectares ont été retenus, avec la participation efficiente des wilayas concernées, à savoir El-Bayadh, Ouargla, El Oued, El M'Ghair, Ghardaïa et Béchar.Le même groupe a fixé les conditions financières requises pour ce type de projets afin d'assurer son financement par les investisseurs, avec le concours du ministère des Finances.Pour rappel, un programme de développement des énergies renouvelables permettant la production de 15.000 MW électricité à l'horizon 2035 dont 4.000 MW d'ici à 2024.Cette transition devrait permettre à l'Algérie de "s'affranchir de manière progressive de la dépendance vis-à-vis des ressources conventionnelles" et d'amorcer une dynamique d'émergence d'une énergie verte et durable qui s'appuie sur la mise en valeur de ressources d'énergie inépuisables, selon le projet de plan d'action qui a été approuvé lors d'un Conseil des ministres.La démarche du gouvernement s'articule sur plusieurs considérations notamment, la préservation des ressources fossiles et leur valorisation, le changement du modèle énergétique de production et de consommation, le développement durable et la protection de l'environnement, ainsi que la maitrise des coûts de réalisation des installations des énergies renouvelables. Au titre du développement des énergies renouvelables et tenant compte du potentiel existant et des capacités d'absorption du réseau national de transport et de distribution de l'énergie électrique et de l'énergie d'origine renouvelable, un programme adapté de développement des énergies renouvelables d'une capacité de 15.000 MW à l'horizon 2035, dont 4000 MW d'ici 2024, sera mis en œuvre.La réalisation de ces capacités permettra non seulement d'économiser près de 240 milliards de m3 de gaz naturel et d'éviter ainsi l'émission de 200 millions de tonnes de CO², mais aussi le développement effectif d'un tissu de PME sur l'ensemble de la chaîne de valeur des composants dédiés aux énergies renouvelables, a-t-on souligné dans ce document.L'hybridation de la production de l'électricité de source conventionnelle au niveau du sud du pays, par la production photovoltaïque, constitue pour le gouvernement une action prioritaire dans ce domaine. Aussi, la mise à niveau de la réglementation d'encouragement de la production d'électricité à partir de sources renouvelables afin d'y intégrer des mécanismes adaptés à l'auto production par les résidentiels, sera rapidement mise en œuvre.S'agissant de la politique d'efficacité énergétique, les "mesures fortes" que le gouvernement envisage de mettre en œuvre en matière d'efficacité énergétique permettront de réduire drastiquement le gaspillage et de préserver les ressources énergétiques du pays. Cette démarche, qui sera encouragée dans les différents secteurs d'activité, sera axée sur la généralisation des procédés d'isolation thermiques dans les nouvelles constructions, la mise en place d'un programme national pour la conversion des véhicules au GPLc et le développement du GNC pour les véhicules de transport collectif, l'équipement du réseau d'éclairage public et des administrations publiques avec des dispositifs à basse consommation ainsi que la mise en place d'un cadre réglementaire prohibant l'importation et la production d'équipements énergivores. L'élargissement du dispositif incitatif à l'investissement aux filières permettant la localisation de l'activité de production d'équipements et de composants dédiés à l'efficacité énergétique est également parmi les actions phares du gouvernement.M. B.

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